Imaginons, ce nouveau collègue, j'ai à peine croisé son regard que je l'ai jugé.
Imaginons, cette famille dans la rue, et je critique le comportement du papa vers l'enfant.
Imaginons, nouveau rond-point dans ma commune, et je conteste la décision de la mairie.
Alors qu'il est naturel, puis devenu culturel, le jugement ne fait pas avancer les choses [contrairement à l'action], et il pollue notre cerveau.
Je juge, d'autres me jugent, je me juge moi-même, je juge celles et ceux qui jugent...
Qui suis-je pour juger ? est une question que notre mental n'aime pas !
Juger l'autre - le rabaisser - permet à l'égo de croire qu'il est meilleur.
Pour faire différemment, mettons-nous à la place de l'autre, totalement, factuellement.
Ce nouveau collègue qui arrive ? Je m'imagine à sa place, s'être levé pour ce premier jour, être stressé...
La maire pour le rond-point ? Imaginez-vous le nombre de discussions qu'elle a eues avant de prendre la décision.
Notre compassion refait alors surface.
Le jugement laisse place alors à la volonté de comprendre et de faire avancer les choses.
Au prochain jugement,
Expérimentez-le,
Sébastien
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Suzanne et Simone
...s'apaiser...
par Sébastien, thérapeute
coaching mental et enseignement spirituel
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